Adieu le livre ; bonjour le numérique
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Adieu le livre ; bonjour le numérique
Vu sur Elbakin.net :
http://elbakin.net/fantasy/news/10911-27-auteurs-americains-courcircuitent-leurs-editeurs
En gros, des auteurs ont décidé de passer outre leur éditeur et de publier leurs textes sur le net. Les recettes iront donc directement dans leurs poches et non plus dans celles des vilains éditeurs tout puissants.
Visiblement, ça fait plus ou moins suite à quelques querelles entre auteurs et éditeurs américains.
Qu'en pensez-vous ? Les éditeurs français posent-ils autant de problèmes aux auteurs, où est-ce un problème plus américain ?
Personnellement, je n'aime pas lire d'ebooks pour deux raisons principales :
- J'aime tenir l'objet dans les mains, le ranger dans une bibliothèque, le feuilleter etc.
- Je suis bigleux : lire sur le pc, lunettes ou pas, me fatigue et me donne des migraines.
Pour autant je comprends parfaitement ne pas vouloir être spolié par son éditeur (même rapport entre les musiciens et les maisons de disque).
http://elbakin.net/fantasy/news/10911-27-auteurs-americains-courcircuitent-leurs-editeurs
En gros, des auteurs ont décidé de passer outre leur éditeur et de publier leurs textes sur le net. Les recettes iront donc directement dans leurs poches et non plus dans celles des vilains éditeurs tout puissants.
Visiblement, ça fait plus ou moins suite à quelques querelles entre auteurs et éditeurs américains.
Qu'en pensez-vous ? Les éditeurs français posent-ils autant de problèmes aux auteurs, où est-ce un problème plus américain ?
Personnellement, je n'aime pas lire d'ebooks pour deux raisons principales :
- J'aime tenir l'objet dans les mains, le ranger dans une bibliothèque, le feuilleter etc.
- Je suis bigleux : lire sur le pc, lunettes ou pas, me fatigue et me donne des migraines.
Pour autant je comprends parfaitement ne pas vouloir être spolié par son éditeur (même rapport entre les musiciens et les maisons de disque).
Re: Adieu le livre ; bonjour le numérique
Oui tout à fait, cette réaction est peut-être saine si réellement il y a trop de bénéfices, et cela ne m'étonnerait pas le moins du monde, ça serait une bonne leçon pour les éditeurs, cela changera peut-être les choses.
Je n'aime pas non plus le numérique, je suis comme toi, j'aime l'objet :par exemple, j'ai acheté un livre d'occasion qui a une odeur qui me rappelle mon enfance, je pense qu'il a pris l'humidité, mais en tout cas c'est un parfum que j'adore ; et chaque livre a son parfum. Vous ne me verrez jamais commencer à lire un bouquin sans l'avoir au préalable longuement humé
Je n'aime pas non plus le numérique, je suis comme toi, j'aime l'objet :par exemple, j'ai acheté un livre d'occasion qui a une odeur qui me rappelle mon enfance, je pense qu'il a pris l'humidité, mais en tout cas c'est un parfum que j'adore ; et chaque livre a son parfum. Vous ne me verrez jamais commencer à lire un bouquin sans l'avoir au préalable longuement humé
Re: Adieu le livre ; bonjour le numérique
C'est difficile à dire... Je n'aime pas les livres électroniques pour les mêmes raisons que toi. Même si, les problèmes financiers aidant, je n'achète plus beaucoup de "vrais" disques, je suis attachée aux objets en tant que tels, parce qu'ils contribuent à l'univers de l'œuvre, qu'elle soit musicale ou littéraire.
Je ne peux pas me rendre compte si les auteurs sont spoliés par les éditeurs, mais ça m'étonne un peu. En France en tous cas, j'ai eu maintes fois l'occasion d'entendre dire que le milieu de l'édition allait mal, et dans les domaines de l'imaginaire en tout cas, j'ai l'impression que ces gens travaillaient par passion et entretenaient de bons contacts avec leurs auteurs (même des "grosses" boîtes comme Bragelonne, Ange par exemple avait l'air contente de ce qu'ils faisaient pour elle). D'une manière générale, dans ce milieu, ce sont plutôt les distributeurs qui sont montrés du doigt.
En ce qui me concerne, je trouve qu'avoir un éditeur, c'est une sorte de gage de respectabilité. Même si, comme en musique, il y a des milliers de personnes qui mériteraient d'être édités et ne le sont pas, le fait qu'un éditeur ait choisi de publier ton livre te donne un minimum de respectabilité. Et j'ai lu trop de mauvais livres auto-produits pour changer d'avis (pourtant à l'inverse, il y a aussi des choses publiées et complètement nulles).
Après, ce genre d'initiatives va aussi dans un sens que j'apprécie, puisque elles permettent de rendre les livres plus accessibles d'un point de vue financier, et profitent d'Internet pour faire ce qu'on aurait toujours dû faire avec : s'en servir pour créer un véritable vivier culturel, d'autant plus vivant qu'il est accessible à des millions de personnes. Internet, pour moi, peut être le meilleur allié de l'art, et d'ailleurs leurs démarches sont similaires : il s'agit de créer, d'échanger, de s'enrichir intellectuellement.
Donc, le débat reste ouvert pour moi, je n'arrive pas encore à me positionner clairement.
Je ne peux pas me rendre compte si les auteurs sont spoliés par les éditeurs, mais ça m'étonne un peu. En France en tous cas, j'ai eu maintes fois l'occasion d'entendre dire que le milieu de l'édition allait mal, et dans les domaines de l'imaginaire en tout cas, j'ai l'impression que ces gens travaillaient par passion et entretenaient de bons contacts avec leurs auteurs (même des "grosses" boîtes comme Bragelonne, Ange par exemple avait l'air contente de ce qu'ils faisaient pour elle). D'une manière générale, dans ce milieu, ce sont plutôt les distributeurs qui sont montrés du doigt.
En ce qui me concerne, je trouve qu'avoir un éditeur, c'est une sorte de gage de respectabilité. Même si, comme en musique, il y a des milliers de personnes qui mériteraient d'être édités et ne le sont pas, le fait qu'un éditeur ait choisi de publier ton livre te donne un minimum de respectabilité. Et j'ai lu trop de mauvais livres auto-produits pour changer d'avis (pourtant à l'inverse, il y a aussi des choses publiées et complètement nulles).
Après, ce genre d'initiatives va aussi dans un sens que j'apprécie, puisque elles permettent de rendre les livres plus accessibles d'un point de vue financier, et profitent d'Internet pour faire ce qu'on aurait toujours dû faire avec : s'en servir pour créer un véritable vivier culturel, d'autant plus vivant qu'il est accessible à des millions de personnes. Internet, pour moi, peut être le meilleur allié de l'art, et d'ailleurs leurs démarches sont similaires : il s'agit de créer, d'échanger, de s'enrichir intellectuellement.
Donc, le débat reste ouvert pour moi, je n'arrive pas encore à me positionner clairement.
Re: Adieu le livre ; bonjour le numérique
C'est assez étonnant que l'auto-édition ne fonctionne pas beaucoup plus que ça, je trouve. En musique, j'écoute pas mal d'indépendants qui en chient grave et qui ne gagnent pas forcément leur vie de ce qu'ils font ; mais la qualité est tout aussi bonne que pour des artistes signés en major ; le formatage en moins. Et on retrouve quand même ces artistes en auto-production à la fnac (beaucoup moins dans les playlists des radios par contre).
Je ne sais pas si les éditeurs de l'imaginaire "formatent" les livres afin qu'ils soient plus facilement vendables. Je ne pense pas, puisque en général, ces romans s'adressent à un public de passionnés.
Toutefois, il est nécessaire de faire très attention au contrat. Outre les lignes concernant les clauses d'exclusivité qui sont courantes, on peut assister à des choses aberrantes : l'éditeur de bd Casterman (avec l'aide du TGI de Paris) a estimé que 3 ans étaient suffisamment long pour produire une BD (en l'occurrence Le cycle de Cyann de Bourgeon et Lacroix) et une astreinte de 1000€ par jour serait soumise aux auteurs passé le délai.
De telles situations peuvent amener les auteurs à choisir d'autres formes de publication. Toutefois, pourquoi choisir forcément la voie du numérique ? Question de coûts, certes, mais il est tout de même possible de publier à compte d'auteur à plus ou moins frais (comme les magasines amateurs) ou de financer la publication entièrement par les lecteurs (cela se fait dans la musique également).
Je ne sais pas si les éditeurs de l'imaginaire "formatent" les livres afin qu'ils soient plus facilement vendables. Je ne pense pas, puisque en général, ces romans s'adressent à un public de passionnés.
Toutefois, il est nécessaire de faire très attention au contrat. Outre les lignes concernant les clauses d'exclusivité qui sont courantes, on peut assister à des choses aberrantes : l'éditeur de bd Casterman (avec l'aide du TGI de Paris) a estimé que 3 ans étaient suffisamment long pour produire une BD (en l'occurrence Le cycle de Cyann de Bourgeon et Lacroix) et une astreinte de 1000€ par jour serait soumise aux auteurs passé le délai.
De telles situations peuvent amener les auteurs à choisir d'autres formes de publication. Toutefois, pourquoi choisir forcément la voie du numérique ? Question de coûts, certes, mais il est tout de même possible de publier à compte d'auteur à plus ou moins frais (comme les magasines amateurs) ou de financer la publication entièrement par les lecteurs (cela se fait dans la musique également).
Re: Adieu le livre ; bonjour le numérique
En effet, tu as peut-être raison pour les éditeurs, je ne sais pas, mais là, les distributeurs aussi sont spoliés par cette intiative, ce qui est une bonne chose La littérature aux écrivains et aux lecteurs !
Re: Adieu le livre ; bonjour le numérique
L'avenir c'est les associations qui jouent le rôle d'éditeur... Pas les bouquins en pdf (j'espère !)...
En musique le délire est encore différent, déjà un CD c'est devenu un support terriblement désuet, et surtout, la musique a d'autres vecteurs que la vente du produit fini pour être rentable, comme la scène ou la radio diffusion... Et aussi, la musique est beaucoup plus universellement accessible que la littérature (ne serait-ce que par la barrière de la langue, qui implique un passage par la traduction pour franchir les frontières).
En musique le délire est encore différent, déjà un CD c'est devenu un support terriblement désuet, et surtout, la musique a d'autres vecteurs que la vente du produit fini pour être rentable, comme la scène ou la radio diffusion... Et aussi, la musique est beaucoup plus universellement accessible que la littérature (ne serait-ce que par la barrière de la langue, qui implique un passage par la traduction pour franchir les frontières).
Frenzy- Conteur
- Nombre de messages : 95
Age : 43
Localisation : Rennes
Date d'inscription : 09/05/2009
Re: Adieu le livre ; bonjour le numérique
Je suis plutôt d'accord avec Frenzy : je crois qu'éditer un CD aujourd'hui, ou ta musique tout court d'ailleurs, est beaucoup, beaucoup moins cher. La plupart des gens fonctionnent avec le mp3 aujourd'hui, ainsi, Mathias a pu acheter un album sans support physique, d'un français qui s'appelle Asphyxia, on l'a payé, mais y'a pas de disque, c'est aussi valable pour NIN (et Trent doit être un tout petit peu plus riche que le gars de Asphyxia )
La BD, j'ai eu l'impression que c'était un peu particulier en effet, pas mal de séries ont été bâclées sous la pression des éditeurs. Et ça doit coûter très cher en impression.
Quant au livre, l'auto-édition reste difficilement abordable, j'ai un copain qui l'avait fait, il a dépensé beaucoup d'argent, pour pas grand-chose en retour.
Du coup, j'ai souvent l'impression que les mecs qui s'auto-éditent le font parce qu'ils sont persuadés d'être des génies incompris (voir le grand débat mesquin qui a suivi ma chronique du bouquin d'Esther Hartwell sur psychovision (j'ai pas non plus été très fine sur ce coup-là.
La BD, j'ai eu l'impression que c'était un peu particulier en effet, pas mal de séries ont été bâclées sous la pression des éditeurs. Et ça doit coûter très cher en impression.
Quant au livre, l'auto-édition reste difficilement abordable, j'ai un copain qui l'avait fait, il a dépensé beaucoup d'argent, pour pas grand-chose en retour.
Du coup, j'ai souvent l'impression que les mecs qui s'auto-éditent le font parce qu'ils sont persuadés d'être des génies incompris (voir le grand débat mesquin qui a suivi ma chronique du bouquin d'Esther Hartwell sur psychovision (j'ai pas non plus été très fine sur ce coup-là.
Re: Adieu le livre ; bonjour le numérique
Il n'y a aucun zombie dans mon roman. Les zombies sont des morts vivants qui perdent leur volonté et leur personnalité au profit d'un sorcier qui les manipule à sa guise comme des esclaves. Mes kramaloxes n'ont rien à voir avec des zombies.
J'adore ce genre de répliques collector
Juste à la lecture du débat, ça me rappelle ce qui m'avait éloigné de la fantasy à un moment, le cumul de fausse bonnes idées (omg des chenilles qui secrètent de l'acide) et de trucs suffisamment farfelus pour mériter une explication. (J'y suis revenu quand je me suis rendu compte que cibler les bizarreries et leur apporter une solution ou un contexte
Frenzy- Conteur
- Nombre de messages : 95
Age : 43
Localisation : Rennes
Date d'inscription : 09/05/2009
Re: Adieu le livre ; bonjour le numérique
Cette discussion avec l'auteur est collector
A ta place, ça m'aurait énervé, je crois que je n'aurais même pas répondu à la fin. C'est exactement la teneur des débats sur les forums : quand on n'y participe pas, on rigole beaucoup
J'aime beaucoup sa focalisation sur les 2 soleils... mais qu'est-ce qu'on s'en fout !
En fait, son roman n'est sans doute pas "bras-coude-genoux", mais ses réactions, à n'en point douter !
A-t-elle écrit quelque chose depuis ?
Juste pour rebondir sur le sujet du topic : lire des mauvais romans auto-publiés est sans doute chose assez courante, puisque ils sont sans doute plus nombreux que des ouvrages publiés. C'est juste mathématique.
Je ne suis pourtant pas certain qu'il n'y ait pas autant de bons romans que chez un éditeur classique. Comme pour la musique : on trouve surtout de la merde sur myspace (en quantité), mais on y découvre aussi quelques perles ; et c'est de celles-là qu'on se souvient.
A ta place, ça m'aurait énervé, je crois que je n'aurais même pas répondu à la fin. C'est exactement la teneur des débats sur les forums : quand on n'y participe pas, on rigole beaucoup
J'aime beaucoup sa focalisation sur les 2 soleils... mais qu'est-ce qu'on s'en fout !
En fait, son roman n'est sans doute pas "bras-coude-genoux", mais ses réactions, à n'en point douter !
A-t-elle écrit quelque chose depuis ?
Juste pour rebondir sur le sujet du topic : lire des mauvais romans auto-publiés est sans doute chose assez courante, puisque ils sont sans doute plus nombreux que des ouvrages publiés. C'est juste mathématique.
Je ne suis pourtant pas certain qu'il n'y ait pas autant de bons romans que chez un éditeur classique. Comme pour la musique : on trouve surtout de la merde sur myspace (en quantité), mais on y découvre aussi quelques perles ; et c'est de celles-là qu'on se souvient.
Re: Adieu le livre ; bonjour le numérique
Pour la discussion avec Esther, sur le moment j'étais furax, mais avec le recul je pense que je n'aurais pas dû réagir.
Sinon, tu as raison Gradlon, il y a forcément de très bonnes choses dans l'auto-édition. Sur psycho un certain nombre de romans auto-édités sont chroniqués et a priori ils sont bons. Je pense que c'est parce que l'écriture est plus mon domaine que la musique, du coup, je suis plus méfiante
Sinon, tu as raison Gradlon, il y a forcément de très bonnes choses dans l'auto-édition. Sur psycho un certain nombre de romans auto-édités sont chroniqués et a priori ils sont bons. Je pense que c'est parce que l'écriture est plus mon domaine que la musique, du coup, je suis plus méfiante
Re: Adieu le livre ; bonjour le numérique
Tu as bien raison d'être méfiante. En parcourant le net pour savoir ce qu'on racontait sur J.P. Bâchet, je suis tombé sur ça :
http://www.editions-abm.com/editions.htm
Le catalogue à l'air énorme !
http://www.erkron.com/enterfr.htm est par exemple publié chez eux.
Il y a peut-être des bons ouvrages dans le lot, mais au premier coup d'oeil, ça fait un peu peur. Mais bon, si jamais tout le monde refuse mon roman, je pourrais le leur proposer.
http://www.editions-abm.com/editions.htm
Le catalogue à l'air énorme !
http://www.erkron.com/enterfr.htm est par exemple publié chez eux.
Il y a peut-être des bons ouvrages dans le lot, mais au premier coup d'oeil, ça fait un peu peur. Mais bon, si jamais tout le monde refuse mon roman, je pourrais le leur proposer.
Re: Adieu le livre ; bonjour le numérique
Si les bouquins étaient pas si chers, ça pourrait m'intéresser d'en prendre un pour voir.
Tiens, une autre forme de publication : lâcher ces textes de manière tout à fait gratuite sur le net.
Évidemment ça rapporte moins
Vous connaissez ASP Explorer ?
Il en a écrit une quantité, de quoi facilement publier une dizaine de romans. Et bien souvent, la qualité était présente.
http://aspexplorer.livejournal.com/tag/the+ordinaries : une histoire de super-héros sans pouvoir
Plus ancien, un peu moins bien écrit du coup : le cycle de Kalon, un barbare débile genre celui de Naheulbeuk (ASP Explorer fut d'ailleurs une inspiration pour POC) : http://pagesperso-orange.fr/aspexplorer/kalonbrw.htm
Bon, c'est sûr qu'on peut gagner une bonne réputation et une certaine considération, mais ça paye pas les pâtes.
Tiens, une autre forme de publication : lâcher ces textes de manière tout à fait gratuite sur le net.
Évidemment ça rapporte moins
Vous connaissez ASP Explorer ?
Il en a écrit une quantité, de quoi facilement publier une dizaine de romans. Et bien souvent, la qualité était présente.
http://aspexplorer.livejournal.com/tag/the+ordinaries : une histoire de super-héros sans pouvoir
Plus ancien, un peu moins bien écrit du coup : le cycle de Kalon, un barbare débile genre celui de Naheulbeuk (ASP Explorer fut d'ailleurs une inspiration pour POC) : http://pagesperso-orange.fr/aspexplorer/kalonbrw.htm
Bon, c'est sûr qu'on peut gagner une bonne réputation et une certaine considération, mais ça paye pas les pâtes.
Re: Adieu le livre ; bonjour le numérique
lol je connais Asphyxia depuis qu'il a 15 ans, on sortait pas mal en batcave sur Marseille. C'est un pote à mon cousin. Ca me tue d'entendre parler de lui comme ça, une pote qui habite à lille le connaissait aussi d'internet, chaque fois ça m'a laissé sur le cul. Ca me fait bien plaisir pour lui.
Erkekjetter- Poète maudit
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Age : 37
Localisation : ... The MuZzikKal BoXx...
Humeur : Changeante et paradoxale.
Date d'inscription : 17/11/2007
Re: Adieu le livre ; bonjour le numérique
Wah putain, c'est trop cool que tu connaisses Asphyxia!! C'est la meilleure chose que j'aie entendue en électro depuis que je suis tombée amoureuse d'Amduscia!
Re: Adieu le livre ; bonjour le numérique
Moi ça me tue qu'il ai une telle réputation ! Mais il la mérite. Genre une fois il cherchait un sample de cri pour mettre dans un de ses morceaux, et il a visionné je ne sais combien de nanars d'horreur pour trouver LE cri parfait... Et il l'a trouvé ! C'est tout bonnement énorme javascript:emoticonp('')
Erkekjetter- Poète maudit
- Nombre de messages : 254
Age : 37
Localisation : ... The MuZzikKal BoXx...
Humeur : Changeante et paradoxale.
Date d'inscription : 17/11/2007
Re: Adieu le livre ; bonjour le numérique
Le seul cri parfait, c'est le cri de Wilhelm !
https://www.youtube.com/watch?v=k31xLJ-koOE
https://www.youtube.com/watch?v=k31xLJ-koOE
Frenzy- Conteur
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Localisation : Rennes
Date d'inscription : 09/05/2009
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